Un groupe de travail, formé de quelques vignerons et des écologues du Conservatoire des Espaces Naturels Occitanie, a élaboré un outil d’autodiagnostic de la biodiversité qualitative et quantitative des infrastructures agroécologiques appelé Biodiv’Eau, dans le cadre d’un programme initié par la Fédération héraultaise des IGP et conduit avec les Côtes de Thongue.
Les données cartographiées par le vigneron sont analysées et restituées par le Conservatoire avec des préconisations d’aménagement.
Depuis 2014, l’accompagnement pour la réalisation des préconisations est structuré autour d’un consortium entre la profession agricole, le conseil par la Chambre d’agriculture – coordinatrice – et les experts écologues afin de consolider et de pérenniser la démarche.
Ainsi sur les Côtes de Thongue, la création d’un GIEE en 2016 a permis de déployer la démarche sur l’ensemble du territoire de l’IGP et de proposer des formations sur les auxiliaires de culture, sur la préservation des pollinisateurs, ou encore sur l’agroforesterie en milieu viticole, en parallèle d’accompagnement dans la contractualisation de mesures agroenvironnementales et climatiques sur des mesures de réduction des herbicides sur près de 900 ha au niveau du territoire IGP.
Le dispositif a été déployé à l’ensemble des IGP du territoire du département de l’Hérault dans une objectif de gestion de la biodiversité à l’échelle du territoire.
Aujourd’hui, la réflexion porte sur l’adaptation de l’outil au niveau des collectivités territoriales, pour travailler de façon plus durable sur l’ensemble des paysages à l’échelle du territoire, et un travail d’évolution va être entrepris en 2022-2023 pour pouvoir le faire reconnaitre au niveau 2 de la certification environnementale.
Les données cartographiées par le vigneron sont analysées et restituées par le Conservatoire avec des préconisations d’aménagement.
Depuis 2014, l’accompagnement pour la réalisation des préconisations est structuré autour d’un consortium entre la profession agricole, le conseil par la Chambre d’agriculture – coordinatrice – et les experts écologues afin de consolider et de pérenniser la démarche.
Ainsi sur les Côtes de Thongue, la création d’un GIEE en 2016 a permis de déployer la démarche sur l’ensemble du territoire de l’IGP et de proposer des formations sur les auxiliaires de culture, sur la préservation des pollinisateurs, ou encore sur l’agroforesterie en milieu viticole, en parallèle d’accompagnement dans la contractualisation de mesures agroenvironnementales et climatiques sur des mesures de réduction des herbicides sur près de 900 ha au niveau du territoire IGP.
Le dispositif a été déployé à l’ensemble des IGP du territoire du département de l’Hérault dans une objectif de gestion de la biodiversité à l’échelle du territoire.
Aujourd’hui, la réflexion porte sur l’adaptation de l’outil au niveau des collectivités territoriales, pour travailler de façon plus durable sur l’ensemble des paysages à l’échelle du territoire, et un travail d’évolution va être entrepris en 2022-2023 pour pouvoir le faire reconnaitre au niveau 2 de la certification environnementale.